Le magazine féminin
Quand on passe devant le grand panneau de verre, on a l’impression qu’il a toujours été là. Et c’est cette indifférence qui se fond dans le paysage urbain qui signe les grands monuments. Après avoir traversé le miroir on pénètre dans un jardin sinueux, caillouteux, qui monte et descend. Sensation de respiration et de sérénité dans la grande ville désormais si bruyante. Mais déjà l’étrangeté du lieu semble être le corridor de l’exposition à venir.
Si d’habitude tous les chemins mènent à Rome, cette année, ils mènent tous à Moulins au Centre National du Costume. Un musée qui fête ses 10 ans et qui propose une exposition intitulée : « Barockissimo, les Arts Florissants en scène ». Maquettes, films, photos et une centaine de costumes destinés aux spectacles de l’art baroque comme cette représentation fantasque du Bourgeois Gentilhomme joué à l’Opéra Royal de Versailles, le tout évidemment en musique. Lire la suite
C’est un beau château Renaissance, situé aux confins du Périgord noir, qui surplombe la Dordogne avec toute l’élégance que son ancienne propriétaire, Joséphine Baker, dégageait sur les scènes parisiennes. Propriété privée ouverte au public, Les Milandes n’ont de cesse d’entretenir le rêve idéaliste de la chanteuse et actrice : le Village du Monde où elle avait accueilli ses 12 enfants adoptifs, sa tribu « arc-en-ciel », et la Capitale de la Fraternité depuis laquelle l’ex-résistante se battait pour les droits civiques aux Etats-Unis et les droits de l’homme et de la femme dans le monde.Lire la suite
Dernier week-end de novembre 2014. Hélas, Barcelone est sous la pluie. Deux heures de libre pour se promener dans les ruelles historiques du Barrio Gothico. Il ne fait pas chaud et mon appareil photo est sûrement mal réglé, m’expliqueraient les photographes. Mais qu’importe. J’aurais pu me lancer sur les traces de la Reya Elianor et remonter le temps pour découvrir les origines du quartier avec les colonnes d’Auguste. Mais j’ai laissé mon guide à l’hôtel. Lire la suite
Avant de boucler votre valise pour les vacances, n’oubliez pas d’y glisser un ou deux livres qui vous accompagneront sur votre transat . Héritière prête à reconstruire sa vie, comédie délirante ou une bague de fiançailles transforme le quotidien en cauchemar ou rencontre improbable entre anarchistes et supers flics des services secrets. Voici quelques suggestions Infosmode à déguster à l’ombre.
CE QUI RESTERA DE NOUS : Le pitch : 1985, Angleterre. Graham, un ouvrier, rencontre Charlotte, issue de la bourgeoisie. Coup de foudre et début d’une ….
Attention, innovation durable en vue ! La toute jeune société Orée développe et commercialise un clavier sans fil en… bois massif ! Comment rester de bois devant ce nouvel objet high-tech original et durable « made in France » ?Lire la suite
Trois raisons d’aller voir l’exposition « Intérieurs Romantiques »
Se Plonger avec délice dans les intérieurs bourgeois du XIXème siècle. Quatre-vingt dessins nous entraînent dans des pièces « so cosy » ou s’empilent coussins, livres et tableaux. C’est l’univers d’Agatha Christie, de Béatrix Potter et d’Alexandre Dumas.
Pas de demi-mesure pour les passionnés qui ne tarisse pas d’éloges sur les qualités du Lusitanien, un prestigieux pur-sang, né à l’époque des romains. Un cheval fascinant qui allie noblesse et rusticité et un regard de velours ou se mélange force et liberté.
Vous n’aimez pas la philosophie ? Vous n’aimez pas la Pop ? Vous êtes mûr pour vous rendre sans tarder à la semaine de la Pop philosophie. Une semaine de remue-méninges qui a lieu à Marseille depuis maintenant trois ans et qui surfe désormais sur son succès. Les philosophes de toute la planète s’y précipite pour constater que le village des schtroumpfs est bien l’archétype d’une utopie totalitaire …
Début de l’été, une petite session de shopping dans Paris. Tin Tin Tin Tin Tiiinn Tin Tiinn… Une petite musique sonne à mes oreilles… Koâ, Le Saint est à Paris ? Hélas non… Pas de Roger Moore au brushing impeccable… Pour les plus jeunes (je précise tout de même que je n’étais pas née dans les années 60), Le Saint est à la base une série de romans policiers, où le héros, Simon Templar dit Le Saint est un mélange britannique de James Bond (il bosse parfois pour Scotland Yard), d’Arsène Lupin-Robin des Bois (il ne vole que les méchants) et de Brett Sinclair d’Amicalement Vôtre (pour le côté play-boy british en goguette sur la Croisette). Lire la suite
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